Je me souviens tes écumes et ton goût d’océan, malgré le sucre de ma langue, et les bords de ton corps refuge des coquillages, des lichens et des crânes d’oursins. Quelque part j’y dors, et se confondent ma robe à mes cheveux, mes souliers à mes pupilles, dans les vagues où j’ai vomi ton nom ardent.