Titres originaux : Shojo Kakei
Ishi no Bisho
Éditeur original : Shincho-sha, Tokyo, 1959 pour Shojo Kabei
1962 pour Ishi no Bisho
Actes Sud, 2002, pour la traduction française
Traduits du japonais par Rose-Marie Makino-Fayolle
J’ai découvert Akira Yoshimura à travers son roman Naufrages, dont vous pourrez trouver la critique sur le site, et j’ai très vite été charmé par son écriture simple et évocatrice, dénuée de fioritures, ne s’encombrant de rien et allant vers l’essentiel pour le sublimer, tel un haïku renfermant à la fois si peu de mots et tant d’univers. Ainsi me fallait-il au plus vite lire une autre œuvre de cet auteur, ce qui introduisit un long cycle de littérature japonaise décrété par mes envies ; corpus comprenant une anthologie de nouvelles chez Gallimard, Confession d’un masque de Mishima, La pierre et le sabre de Yoshikawa et deux livres de Yoshimura (le deuxième étant Le convoi de l’eau, un merveilleux roman que je présenterai très bientôt).