L’ordre
L’empereur
Fringuant haineux
Déploie son vêtement
Sourit à la mort lointaine
L’artillerie ouvre sa gueule
La cavalerie sur l’herbe morte
La chair à canon en première ligne
Leurs yeux perdus sur les monts rouges
Le N
»
mouvements fantômes
Le N
Le N
»
Le son des détectives
Derrière la porte de sa cellule
Cellule qui est toute une porte
Mais est aussi quatre murs où il dessine des portes
Toque, rugit
Carillonne le silence
Et il s’invente la pluie
Car ce matin devant chez lui quelqu’un est morte Continuer la lecture de «
Le son des détectives
»
Et nous jugerons les anges