
De la mort première des mère, le lait du sein barbu est : terreurs nocturnes, hallucinations et autres lémures, larmes de chanvre et pavots des champs lumineux.
Je me traînerai serpent si la lèvre est décousue, jusqu’au fleuve de fer où sont tombées les statues, plutôt que d’être encore samouraï.
53 poèmes / novembre 2018 / voir la boutique

Des zombies pas vraiment terrifiants, un démarcheur de produits inutiles, des petits vieux en pleine forme, des enfants de héros légendaires, un grand-père et son petit-fils en cavale, des soldats sur une route sans fin, un robot au cœur mal fait, des éclusiers meurtriers… Vous en voulez encore ? Il en reste.
11 nouvelles / février 2016 / voir la boutique

Est seulement beau
l’instant fragile qui précède la brisure
lorsque l’âme est pleine et gonflée du cri
Bisou de l’enfant sauvage – Musique naïve / psycho-doom / stoner-spleen